Rapport de formation des journalistes du 27 mars 2024

La 1èrejournée de l’atelier de formation des journalistes sur les notions des droits de l’homme, d’investigation, l’expression citoyenne et de la redevabilité a commencé par l’arrivée et l’installation des participants dès 08h dans la salle 16 du CEFOD. A 09h30, la présidente de l’ATPDH, Mme Ildjima Lokiam Agnès a souhaité la bienvenue à l’assistance tout en situant le contexte de l’atelier qui est celui de la« participation citoyenne des femmes et des jeunes à la vie publique au Tchad », avant d’interpeller les participants à être sereins et actifs durant les deux jours de la formation. Après s’en sont suivies par la présentation des participants et la photo de famille. A 10h00, le conseiller à la Haute Autorité des médias et de l’audiovisuelle (HAMA), M. Laoro Gondjea présenté le 1er thèmeaxé sur la communication  pour une meilleure mobilisation démocratique. Le l’orateur a d’abord définit la démocratie qui selon luiest un Etat dans lequel la souveraineté appartient à la totalité des citoyens sans distinction de sexe, d’ethnie, de naissance et de capacité. C’est le pouvoir du peuple par le peuple pour le peuple. Il poursuit son intervention en présentant le paysage médiatique tchadien. Selon lui, 78 médias ont l’autorisation d’émission, allant des médias audiovisuels privés nationaux et internationaux de la part de la Haute Autorité des Médias et de l’Audiovisuelle.  En ce qui concerne la contribution aux débats démocratiques, la presse est effectivement une actrice majeure et influente du mouvement démocratique. Il a renchéri que la presse doit fournir aux citoyens des informations sur des modalités des élections qui sont entre autres, qui a le droit de voter et qui ne l’a pas, qui ale droit de se présenter aux élections, où et comment voter ?Pour finir, l’apport d’un journaliste libre, pluraliste, indépendant et sûr, fait face à des pressions sans précèdent. Il n’y a pas de démocratie sans une presse libre, respectueuse de l’éthique et de la déontologie. Après la présentation s’en est suivi des questions-réponses. A 11h45mn, le conseiller  Laoro Gondje a clôturé son intervention. De 12h00 à 12h30, c’est la pause-café.Juste après la pause-café, les participants ont regagné la salle pour  quelques consignes pratiques. Puis ils ont échangé sur la pratique des droits de l’homme et le risque qu’encourent les défenseurs des droits humains. De 13h30 à 14h30, la pause-déjeuner. Ouvrant les activités à 9h00mn, la 1ère  journée est déclarée close à 15h30mn.

Fait à N’Djamena, le 27 mars 2024

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